Tout petit, déjà (enfin, quand je dis tout petit, j'invente un peu (ou plutôt non, je n'invente pas, j'embellis, car comme le disait si bien John Ford (si, si, c'était un réalisateur (américain (de western) et très connu en plus (et pas uniquement de sa voisine comme certains ignares (qui se sont reconnus d'eux-mêmes (comme ça, je n'aurais pas à les dénoncer) seraient tentés de le penser) qui a réalisé (entre autres chefs d'oeuvre immémoriaux) L'homme qui tua Liberty Valance (d'où est tirée la citation sus-citée) et aussi d'autres films que je vous invite à voir (et si vous savez pas lesquels, démerdez-vous un peu (tas de glandeurs) ou allez donc faire un tour sur imdb.com (c'est en anglais mais je ne doute pas un instant que vous soyez tous - si ce n'est bilingue - au moins capables de taper John Ford sur un moteur de recherche (à part un ou deux dont je préfére taire le nom ici (parce qu'après ça va faire des histoires) mais qui se sont reconnus (non, c'est pas les mêmes), j'espère) : "Si la légende (qui n'est pas la réalité et vous allez voir pourquoi) est plus belle que la verité, imprimez (oui, alors, dans le film, c'est un journaliste qui parle (il doit raconter la fameuse histoire de l'homme qui a tué Liberty Valance (oui, parce qu'à la fin, il le tue, quand même (mais dans le dos) et se demande (et on ferait de même à sa place) comment expliquer que Liberty Valance (qui a quand même un très joli prénom (c'est pas comme les potes à Larsen qui s'appellent tous Igor-Boris ou François-Edern), je trouve) a été tué par un type (le salaud) dont je ne me rappelle plus le nom (en même temps, là n'est pas la question) qui ne vaut pas tripette (ce qui craint, quand même, parce que le héros, c'est Liberty Valance) et qui est moche (enfin, je crois, je me rappelle plus de la citation que du film) alors que ce serait plus facile de raconter n'importe quoi (mais avec style)) la légende" (c'est beau, non ? Moi, j'adore cette phrase) parce qu'en fait, quand j'étais vraiment petit (c'est-à-dire un bébé en fait), je m'en fichais un peu (en même temps, j'en étais encore à la découverte de mon corps (non, pas de connotations), dans cette période que les psychologues (qui donnent vraiment des noms à tout) appellent (mais de loin, quand même, on sait jamais) "l'âge des pervers (pas la peine de vous expliquer (à part à deux ou trois, mais je ferais un cours particulier) ce que ça veut dire) polymorphes (qui veut dire (comme tout le monde le sait (non?)) qui prend plusieurs formes (je simplifie pour nos jeunes amis) du grec Poly (rien à voir avec une poupée miniature) et du grec (aussi (ils sont forts, ces grecs)) morphe) puisque la grammaire et la syntaxe m'étaient complétement inconnue (même si sans le savoir (un peu comme Monsieur Jourdain qui faisait de la prose (pas besoin d'explication?) sans le savoir), j'utilisais (dans mon babil infantile encore balbutiant) ces magnifiques inventions (qui nous ont tant ennuyés dans notre prime jeunesse scolaire) de notre langue française (enfin, je dis française, mais je pourrais dire autre chose (parce qu'au fond, toutes les langues ont une grammaire) maternelle (enfin, pour ceux qui (comme moi) ont le français comme langue maternelle (même ceux qui le parlent très mal (et y en a, ça je peux vous le dire)))))), j'aimais (j'appréciais (j'éprouvais une certaine attirance (je kiffais (pour ceux dont je viens de parler (ceux qui parlent mal le Français) grave) pour) énormément (et ne voyez là aucune (encore une fois) connotation à caractère sexué ou érotique (on peut aimer quelque chose sans que le sexe y ait le moindre sens) ni même quoi que ce soit d'un tant soit peu (même pas du tout) lié à un sentiment (au sens noble du terme, bien sûr), ceci dit pour ceux (suivez mon regard) qui voient partout (et vraiment partout, là, pour le coup)(la preuve) des connotations), voire extrêmement) beaucoup (et je dis bien beaucoup (pas de demi-mesures ici (où on a du style), mes chers amis) et pas un peu ou plutôt (qui dénoteraient un certain goût pour le milieu (le centrisme), le refus des décisions franches (et tranchées) ou quoi que ce soit de mou (au sens (bien sûr) de pas très net, et non pas (comme certains ont bien voulu l'imaginer) au sens d'une surface (caverneuse) dure) les parenthèses.
Aujourd'hui, je les aime plus (à prendre ici (mais je suis sûr que vous l'aviez compris) au sens de quelques chose qui a existé et qui a cessé d'être, pas au sens d'un rajout, d'une augmentation (c'est fou comme la langue française (dans sa forme écrite) est imprécise (parfois), non ? (mais c'est bien à ça que servent les parenthèses !)))))))
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